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Tanguy Ollivier, Breton fou d'une demoiselle !
Tanguy Ollivier. Il a
quitté sa Bretagne natale, ses galettes au blé dur, ses parties de pêche et ses algues vertes pour le Berry, ses galettes aux pommes de terre, ses vignobles et ses champs de céréales ... On aime
bien ce « bel humain», comme dirait l'ami Barzingault.
Le cursus? Né en Bretagne en 1979. Parti en exil dans le Cher en 2003, pour devenir journaliste au Berry républicain. Réfugié en Auvergne depuis 2008, à l’agence de La Montagne de Montluçon.
Le déclic ? En famille, d’abord (on est bretons, mais on préfère le vin au cidre !) Puis entre amis, pour accompagner un bon repas. Et surtout en débarquant dans le Cher, en 2003. Au contact de collègues (dont l’auteur de ce blog), et aussi en rencontrant des vignerons qui m’ont raconté leur (beau) métier.
La devise ? Pour savoir qu’un verre de vin est de trop, encore faut-il l’avoir bu ! (Olivier de Kersauzon)
Les meilleurs souvenirs de dégustation ? Avec de très bons amis, autour d’une table dans le Périgord, en août dernier : un pommard Les Vignots de chez Michel Prunier, acheté lors d’une virée en Bourgogne avec un autre très bon ami. Avec d’autres amis (encore un soir d’été, mais pas de la même année), un rouge du Domaine Philippe Gilbert (cuvée La Renardière). Et pour le clin d’œil, le sauternes (pourtant ce n’est pas ce que je préfère), Château Violet, qu’on débouche en famille à chaque Noël.
La cave ou armoire à vin ? Ni l’un ni l’autre, pour l’instant, pour cause de déménagement. Mon vin est stocké dans un appentis en attendant l’arrivée imminente d’une armoire.
Les coups de cœur du moment? En blanc, j’aime beaucoup la cuvée Mademoiselle T du Domaine Jean Teiller, à Menetou-Salon. Et en rouge, un bordeaux : le château-beaumont 2005, un très bon rapport qualité/prix découvert l’année dernière pendant la foire aux vins.